Exploitant d’une entreprise hippique : piloter une activité autour du cheval

· 5 min de lecture
L'exploitant d’une entreprise hippique gère et développe une structure dédiée au cheval : centre équestre, pension, écurie de compétition ou élevage. Il coordonne l'équipe, veille au bien-être animal, gère la partie commerciale et administrative et définit l'offre de services. Entre gestion d'équipe, relation client et compétences techniques, ce métier allie passion du monde équestre et savoir-faire entrepreneurial. Découvrez les clés pour réussir et les réalités du terrain.
Photographie de Exploitant d’une entreprise hippique

Description du métier

Missions principales

L'exploitant d’une entreprise hippique supervise l'ensemble des activités quotidiennes : gestion des équidés, planning des cours, accueil des clients, commercialisation des prestations et tenue de la comptabilité.

Il définit la stratégie commerciale (tarifs, offres, communication), recrute et manage le personnel (moniteurs, palefreniers, soigneurs) et organise la logistique (alimentation, soins, matériel). La sécurité des pratiquants et des chevaux, le respect des normes sanitaires et la traçabilité vétérinaire font aussi partie de ses responsabilités.

En cas d'élevage ou de compétition, il pilote les calendriers de reproduction, les transports et les participations aux épreuves. Il veille enfin à l'entretien des infrastructures : carrières, pistes, boxes, sellerie.

Environnement de travail

L'activité se déroule dans des structures variées : centre équestre, pension, écurie de propriétaires, écurie de compétition, élevage ou site d'agritourisme.

Les exploitations peuvent être rurales ou périurbaines. L'exploitant jongle entre travail sur le terrain (soins, déplacements des chevaux, supervision des séances) et tâches administratives (gestion, relation bancaire, dossiers subventions). Les interactions quotidiennes incluent cavaliers, propriétaires, vétérinaires, fournisseurs et collectivités locales.

Profil et qualités requises

Il faut une solide expérience équestre, un goût pour la gestion et d'excellentes capacités relationnelles. Le sens commercial, l'organisation et la prise de décision sont essentiels.

Patience, pédagogie et autorité naturelle facilitent le management d'équipes et la relation client. L'endurance physique est requise : manipulation de chevaux, entretien d'infrastructures et disponibilité durant les week-ends et vacances scolaires. Enfin, curiosité administrative et maîtrise des outils numériques complètent le profil.

Formations et diplômes

Parcours de formation classique

Plusieurs voies mènent au métier : du CAP agricole option 'conduite et soin des animaux' au Bac Pro CGEA orienté équidés, jusqu'aux diplômes spécialisés. Le BPJEPS mention équitation est utile pour enseigner et encadrer, tandis que le BTS (production animale, gestion et protection de la nature) ou un BTS gestion/commerce apporte des compétences entrepreneuriales.

Pour la direction d'une ferme-équestre, le DEJEPS ou un diplôme supérieur en gestion d'entreprise complète l'expérience pratique. Les parcours peuvent être mixtes : alternance, apprentissage et validation d'expérience.

Établissements et organismes de formation

Les centres de formation d'apprentis (CFA), lycées agricoles, écoles d'équitation affiliées à la Fédération Française d'Équitation (FFE) et organismes privés proposent ces formations. Les pôles régionaux d'enseignement agricole et les campus spécialisés forment au BPJEPS, DEJEPS et aux modules techniques.

Des formations en gestion, comptabilité ou commerce proposées par des universités ou écoles supérieures complètent le bagage nécessaire à la direction d'une entreprise hippique.

Coût et durée des études

Les formations varient de 1 à 3 ans selon le diplôme : CAP (2 ans), Bac Pro (3 ans), BPJEPS (10-18 mois selon parcours), BTS (2 ans). Le DEJEPS demande 1 à 2 ans supplémentaires selon les modules.

En alternance, la formation est souvent prise en charge par l'employeur ou les OPCO, réduisant le coût pour l'apprenant. Les formations continues et qualifiantes ont des coûts variables (quelques centaines à plusieurs milliers d'euros). Les aides régionales, Pôle emploi ou CPF peuvent financer tout ou partie du parcours.

Compétences et qualifications

Compétences techniques

Maîtrise des soins quotidiens : alimentation, ferrure, vermifugation, premiers soins et gestion vétérinaire. Savoir organiser des programmes d'entraînement, préparer des chevaux pour la compétition ou la mise en pension. Entretien des infrastructures et gestion du matériel (sellerie, tracteurs, carrière).

Compétences administratives : gestion comptable, facturation, élaboration de devis et suivi budgétaire. Maîtrise des règles sanitaires et traçabilité des équidés.

Compétences relationnelles

Leadership pour manager une équipe et coordonner les intervenants. Sens commercial pour attirer et fidéliser la clientèle (cours, pensions, prestations). Capacité pédagogique pour encadrer cavaliers débutants et confirmés, et savoir gérer les conflits et attentes des propriétaires.

Communication claire et savoir-faire en marketing local et digital (réseaux sociaux, site web) renforcent la visibilité.

Condition physique et prérequis

Bonne condition physique : manipulation des chevaux, travail en extérieur et entretien des infrastructures. Niveau équestre solide (souvent galop 5/6 en pratique) pour garantir la sécurité et l'enseignement.

Permis B souvent nécessaire pour les déplacements et transports de chevaux. Une expérience significative en structure équestre est un atout majeur.

Débouchés et marché de l'emploi

Opportunités professionnelles

Les exploitants peuvent créer ou reprendre : centres équestres, pensions, écuries de propriétaires, élevages, structures de tourisme équestre ou entreprises de transport d'équidés. Les structures liées à la compétition (saut d'obstacles, complet, dressage) recrutent aussi des gestionnaires expérimentés.

En parallèle, des opportunités existent dans la gestion d'événements équestres, l'animation d'activités équestres pour le tourisme ou l'éducation, et la fourniture de services spécialisés (stages, pensions haut de gamme).

Statut professionnel

L'exploitant peut être salarié (gérant salarié, directeur), indépendant (chef d'exploitation en entreprise individuelle), ou créer une structure en SELARL/SARL selon la taille et le montage juridique. Certains travaillent sous statut agricole (GAEC) ou exploitant agricole pour les élevages.

Le choix de statut influence les cotisations sociales, la protection sociale et la possibilité de recevoir des aides agricoles.

Régions et mobilité

Les zones rurales et périurbaines présentent la plus forte densité d'entreprises hippiques, notamment en Pays de la Loire, Nouvelle-Aquitaine, Normandie et Occitanie. La proximité d'un bassin de clientèle (ville ou zone touristique) est un atout.

La mobilité est souvent nécessaire : déplacements pour compétitions, achats, soins vétérinaires et collaboration avec d'autres structures. Une implantation stratégique facilite la rentabilité.

Salaire et rémunération

Salaire débutant

Un exploitant débutant salarié perçoit généralement le SMIC ou un salaire proche selon la convention collective (environ 1 700 € brut mensuel en 2025 selon le temps de travail et l'expérience). Les premiers gérants indépendants voient souvent des revenus variables, parfois modestes, pendant les années d'installation.

Évolution salariale

Avec l'expérience et une clientèle établie, le revenu peut augmenter sensiblement. Un exploitant propriétaire d'une structure bien gérée peut dégager un salaire net équivalent à plusieurs milliers d'euros par mois, selon la diversification des activités (stages, pensions, ventes, compétitions). La spécialisation en élevage ou prestations haut de gamme améliore la marge.

Facteurs influençant la rémunération

La taille de la structure, la diversification (pensions, cours, compétitions), la région et la capacité d'investissement influent fortement. Les aides publiques, subventions ou agréments touristiques peuvent soutenir la trésorerie et améliorer le revenu net.

Conditions de travail

Organisation du temps de travail

Les horaires sont atypiques : matinées tôt, soirées et week-ends occupés par les cours et compétitions. La saisonnalité influe : forte activité au printemps/été et pendant les vacances scolaires. L'exploitant jongle entre tâches physiques, rendez-vous administratifs et gestion commerciale.

La polyvalence est quotidienne : il peut alterner soins, encadrement, gestion des plannings et interventions d'urgence (vétérinaire, transport).

Avantages du métier

Travailler au contact du cheval tous les jours, contribuer au bien-être animal et partager la passion avec des cavaliers est gratifiant. L'autonomie et la possibilité de créer son projet professionnel (pédagogique, compétitif, touristique) offre une grande liberté.

La diversité des tâches et les relations humaines enrichissent le quotidien : formation, transmission et événementiel sont des sources de satisfaction.

Contraintes et difficultés

Le métier est exigeant physiquement et mentalement : travail en extérieur par tous les temps, gestion des responsabilités légales et financières, et pression des clients et compétitions. Les imprévus vétérinaires, les charges fixes élevées (alimentation, fourrage, personnel, maintenance) et la saisonnalité sont des sources de stress.

La sécurité est cruciale : risques liés au travail avec de grands animaux, nécessité de protocoles stricts et d'une formation continue pour limiter les accidents.

Évolution de carrière

Perspectives d'évolution

Après plusieurs années, l'exploitant peut développer son entreprise, ouvrir des antennes, recruter une équipe complète et diversifier les revenus (stages, tourisme équestre, vente de chevaux). Il peut devenir formateur, consultant en gestion d'écurie ou gestionnaire de complexes équestres plus importants.

La réussite passe souvent par la spécialisation, la réputation et la mise en réseau au sein du milieu équestre.

Spécialisations possibles

Spécialiser son activité : élevage de chevaux de sport, pension haut de gamme, centre de rééducation équine, préparation de chevaux de compétition, tourisme équestre ou pony-games pour enfants. Des spécialisations techniques (ostéopathie équine, maréchalerie) apportent une valeur ajoutée.

Reconversion et passerelles

Un exploitant peut évoluer vers des postes de conseil, formateur en centre de formation, gestionnaire d'un parc équestre public ou développer une activité complémentaire (vente et commerce de matériel, coaching sportif). La diversification facilite les transitions et sécurise les revenus.

Accès au métier et reconversion

Pour les jeunes et étudiants

Les jeunes peuvent s'orienter vers un CAP agricole, un Bac Pro équin ou un BPJEPS pour acquérir les compétences techniques et pédagogiques. L'alternance et les stages en centre équestre sont essentiels pour accumuler de l'expérience pratique et établir un réseau professionnel.

Après un BTS ou une formation en gestion, une spécialisation équestre permet d'associer compétences entrepreneuriales et savoir-faire animalier.

Pour les adultes en reconversion

Les adultes peuvent accéder au métier via des parcours de reconversion : formations continues, certificats professionnels, ou reprise d'exploitation avec accompagnement (chambre d'agriculture, dispositifs régionaux). Des bilans de compétences et des formations courtes (gestions, marketing, certification sécurité) facilitent la transition.

Les dispositifs d'aide (CPF, AIF, Pôle emploi) soutiennent financièrement la reconversion.

VAE et expérience professionnelle

La Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) permet d'obtenir des diplômes comme le BPJEPS ou des certifications professionnelles sur la base de l'expérience. Elle est particulièrement adaptée aux professionnels ayant plusieurs années d'activité en structure équestre.

La VAE nécessite un dossier solide et parfois un accompagnement pour rédiger les preuves d'expérience et convaincre le jury.

Réseau professionnel et réglementation

Plusieurs acteurs encadrent le secteur : la Fédération Française d'Équitation (FFE), les chambres d'agriculture, syndicats professionnels et associations locales qui offrent conseils, formations et défense des intérêts.

La réglementation impose des obligations sanitaires, la traçabilité des équidés et des normes de sécurité pour les installations. Certains diplômes (BPJEPS, DEJEPS) sont requis pour l'enseignement rémunéré.

L'exploitant doit souscrire des assurances professionnelles (responsabilité civile, assurance des locaux et des activités) et respecter la réglementation du transport d'équidés et du bien-être animal.

Témoignages et retours d'expérience

Parcours inspirants

Marie, 38 ans, a repris un petit centre équestre et l'a transformé en pôle de pension et formation. Elle insiste sur l'importance d'un bon dossier financier et d'un réseau local solide. Après dix ans, son chiffre d'affaires a doublé grâce à la diversification.

Antoine, ancien cavalier pro, s'est spécialisé dans la préparation de chevaux de compétition. Sa réputation technique lui permet d'attirer une clientèle nationale.

Conseils de professionnels

Plusieurs exploitants recommandent de se former en gestion avant de se lancer, de cumuler expérience en structure et de tester la viabilité économique avec un business plan réaliste. Ils conseillent aussi d'investir dans la qualité des installations et la communication digitale pour se démarquer.

Réalités du terrain

Le quotidien mêle satisfaction et contraintes concrètes : journées longues, imprévus vétérinaires, gestion de la trésorerie. Le relationnel avec les clients peut être exigeant mais aussi source de fidélité. Ceux qui réussissent combinent compétence technique, rigueur administrative et capacité d'adaptation.

Questions fréquentes (FAQ)

  • Quel diplôme pour devenir exploitant d’une entreprise hippique ? Parmi les voies courantes : CAP agricole, Bac Pro équin, BPJEPS pour l'enseignement, et des formations en gestion pour la partie entrepreneuriale. L'expérience pratique est tout aussi importante que les diplômes.
  • Faut-il obligatoirement être cavalier de haut niveau ? Non. Un bon niveau (souvent galop 5/6) est recommandé pour la sécurité et l'enseignement, mais la gestion d'entreprise repose aussi sur des compétences commerciales et administratives.
  • Quel salaire au démarrage ? Un exploitant salarié démarre souvent autour du SMIC, tandis qu'un propriétaire d'entreprise peut avoir des revenus variables et parfois faibles les premières années avant stabilisation.
  • Peut-on se former en alternance ? Oui. Le BPJEPS, certains BTS et CAP se préparent en alternance ou apprentissage, ce qui facilite l'insertion et le financement.
  • Quelles aides pour reprendre une structure hippique ? Des aides existent (prêts bonifiés, subventions régionales, accompagnement par les chambres d'agriculture). Un business plan solide est essentiel pour obtenir des financements.
  • Quels sont les risques professionnels ? Risques liés au travail avec les chevaux (chutes, blessures), contraintes physiques et risques économiques liés à la saisonnalité et aux charges fixes élevées.
  • Comment diversifier son activité ? Offrir des pensions, stages, tourisme équestre, ventes de chevaux, formation et services spécialisés (ostéopathie, maréchalerie) permet de lisser les revenus et d'attirer différentes clientèles.
  • La VAE est-elle utile ? Oui. La VAE permet d'obtenir des diplômes (ex : BPJEPS) sur la base de l'expérience et facilite l'accès à certains postes et financements.
  • Faut-il un diplôme pour enseigner ? Pour être rémunéré comme enseignant professionnel, le BPJEPS mention équitation est généralement exigé. Des dispenses existent selon l'expérience mais varient selon les structures.
  • Comment trouver des clients ? Communiquer localement, soigner sa présence en ligne (site, réseaux sociaux), proposer des offres attractives et s'appuyer sur le bouche-à-oreille et les partenariats locaux.

Conclusion

Prendre la tête d'une entreprise hippique demande passion, rigueur et formation. Si vous rêvez d'un métier au contact du cheval, renseignez-vous, formez-vous et lancez-vous : le terrain vous attend.

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