Équithérapeute : soigner par le cheval, un métier au cœur du lien humain

· 5 min de lecture
L'équithérapeute utilise le cheval comme médiateur pour accompagner des personnes en situation de handicap, troubles psychiques ou difficultés d'insertion. Son rôle combine compétences cliniques, connaissance du monde équestre et techniques de médiation animale pour améliorer la motricité, la communication et le bien-être. Thérapeute et interface entre l'usager, la famille et l'équipe pluridisciplinaire, il conçoit des séances adaptées et veille à la sécurité du binôme patient/cheval.
Photographie de Équithérapeute

Description du métier

L'équithérapeute conçoit et mène des prises en charge individuelles ou en groupe où le cheval sert de médiateur. Il évalue les besoins, établit des objectifs thérapeutiques et adapte les activités en fonction des capacités du patient et des caractéristiques du cheval. La relation est au centre : il observe les interactions, interprète les réactions et ajuste le dispositif pour favoriser progrès et autonomie.

Missions principales

L'équithérapeute réalise des bilans préalables, définit des objectifs thérapeutiques et construit des séances centrées sur la motricité, le sensoriel, la communication ou la confiance en soi.

Il prépare et gère le matériel, choisit et prépare les équidés adaptés, encadre les patients pendant les activités et évalue régulièrement les progrès. Il rédige des comptes-rendus, collabore avec l'équipe médicale, les familles et les structures partenaires, et assure la traçabilité des prises en charge.

Environnement de travail

Le métier s'exerce en structures variées : centres équestres adaptés, établissements médicosociaux (IME, MAS), hôpitaux, cabinets privés, structures publiques ou associations de médiation animale. Certaines séances ont lieu en milieu naturel (paddocks, manèges) ou en centre spécialisé équipé.

L'équithérapeute travaille souvent au sein d'une équipe pluridisciplinaire (ergothérapeute, psychomotricien, psychologue, éducateur) et peut exercer en libéral ou en salarié.

Profil et qualités requises

Il faut un solide sens de l'écoute, de l'observation et une grande patience. L'équithérapeute doit faire preuve d'empathie, d'autorité douce et d'adaptabilité face à des publics très différents.

La connaissance du cheval, des pratiques d'écurie et des règles de sécurité est indispensable, tout comme des compétences analytiques pour concevoir des bilans et mesurer les évolutions du patient.

Formations et diplômes

Il n'existe pas de titre national unique protégé « équithérapeute » en France ; la voie la plus reconnue combine un diplôme sanitaire ou social et une formation complémentaire en médiation équine. De nombreux parcours convergent vers ce métier, mêlant formation paramédicale, universitaire et certificats spécialisés.

Parcours de formation classique

Les profils les plus courants sont : ergothérapeute, psychomotricien, infirmier, psychologue ou éducateur spécialisé, complétés par des diplômes ou DU en médiation équine.

Une autre voie commence par un BPJEPS ou un BEES / DEJEPS pour l'approche équestre, puis une spécialisation thérapeutique. Les formations privées et universitaires proposent des modules pratiques et théoriques destinés aux professionnels de santé ou du social.

Établissements et organismes de formation

Des universités proposent des Diplômes Universitaires (DU) « médiation équine » ou « thérapie assistée par l'animal ». Des écoles privées, centres de formation équestre et associations spécialisées offrent des certificats en médiation équestre.

Vérifiez la qualité pédagogique, la supervision clinique et le volume horaire pratique. Privilégiez les formations intégrant des stages cliniques et l'intervention de professionnels de santé.

Coût et durée des études

La durée dépend du parcours : un DU dure généralement 6 à 12 mois (200–300 heures), une reconversion complète (diplôme paramédical + spécialisation) peut prendre 2 à 5 ans.

Le coût varie : DU et formations privées entre 1 500 et 6 000 € selon le prestataire. Certaines formations sont finançables par le CPF, Pôle emploi ou via les OPCO pour les salariés. L'alternance est rare pour la spécialisation thérapeutique, mais possible dans les parcours BPJEPS.

Compétences et qualifications

L'équithérapeute combine compétences cliniques, savoir-faire équestre et qualités relationnelles. La formation doit garantir une pratique sécurisée et éthique, ainsi qu'une capacité à travailler en réseau.

Compétences techniques

Maîtrise des techniques de médiation équine : conduite de séances, adaptation des activités motrices et sensorielles, choix et préparation des équidés. Capacité à observer et analyser le comportement du cheval et du patient.

Connaissance des règles d'hygiène et de sécurité en activité équestre, premiers secours et gestion des risques liés au contact équin.

Compétences relationnelles

Aptitudes à établir un lien thérapeutique, à communiquer avec des publics vulnérables et leurs proches, et à collaborer en équipe pluridisciplinaire. Sens de la pédagogie pour adapter consignes et retours selon l'âge et les capacités du patient.

Patience, empathie et capacité à gérer des situations émotionnelles intenses sont essentielles.

Condition physique et prérequis

Bonne condition physique pour manipuler des chevaux, installer du matériel et accompagner des séances debout ou à cheval. Un niveau équestre sûr (équilibre, aisance à cheval) est requis pour garantir sécurité et efficacité.

Des aptitudes psychologiques solides permettent de préserver sa posture professionnelle face à la souffrance et aux progrès parfois lents.

Débouchés et marché de l'emploi

Le marché est en développement : la demande augmente grâce à la reconnaissance de la médiation animale et à l'intérêt pour des approches complémentaires en rééducation et santé mentale. Les débouchés restent locaux et liés aux réseaux médicaux et associatifs.

Opportunités professionnelles

Employeurs possibles : établissements médico-sociaux (IME, MAS, FAM), centres de réadaptation, hôpitaux, centres équestres spécialisés, associations de médiation animale et cabinets privés. Certains travaillent avec établissements scolaires ou structures judiciaires.

Des projets innovants (programmes d'insertion, sport-santé) créent aussi des opportunités pour des équipes pluridisciplinaires.

Statut professionnel

L'équithérapeute peut être salarié (structure publique ou associative), libéral en cabinet ou intervenant externe sous contrat pour des établissements. Les professionnels de santé restent soumis aux règles de leur ordre (si applicable) et à la législation sur l'exercice libéral.

Le statut influe sur la charge administrative, la facturation et le niveau de revenus.

Régions et mobilité

Les zones rurales et périurbaines avec tradition équestre offrent davantage d'opportunités. La mobilité est souvent nécessaire pour intervenir dans plusieurs structures et développer un réseau de prescripteurs.

La création de projet est fréquente : ouvrir un pôle d'équithérapie, s'associer à un centre équestre ou créer une association locale pour mutualiser coûts et chevaux.

Salaire et rémunération

La rémunération varie fortement selon le statut, le profil et la région. Les débuts sont souvent modestes mais des spécialisations et expériences ouvrent la voie à de meilleurs revenus.

Salaire débutant

Un équithérapeute débutant salarié perçoit souvent entre 1 500 et 1 900 € brut par mois en structure associative ou médico-sociale. En début de carrière libérale, les revenus peuvent être inférieurs le temps de constituer une clientèle.

Évolution salariale

Avec plusieurs années d'expérience, une spécialisation ou la gestion d'un centre, le salaire peut atteindre 2 200–3 000 € brut mensuels en salarié. En libéral, les revenus dépendent du volume d'activité et du tarif des séances.

Facteurs influençant la rémunération

La structure d'exercice (association, hôpital, privé), la région, le nombre d'heures cliniques et la qualification (diplômes de santé, DU, expertise) conditionnent le niveau de rémunération.

La prise en charge partielle par des financeurs (CPAM, collectivités) peut stabiliser les revenus pour certains projets.

Conditions de travail

Le travail combine séances en intérieur et extérieur, manipulation d'équidés et interactions humaines intenses. Il demande organisation, rigueur sécuritaire et flexibilité.

Organisation du temps de travail

Les horaires peuvent être variables : journées découpées entre séances individuelles et sessions de groupe, interventions en matinée et après-midi. Le week-end est parfois occupé pour des actions éducatives ou événements.

Le travail comporte aussi des tâches administratives : bilans, comptes-rendus, coordination avec les prescripteurs et gestion du matériel équin.

Avantages du métier

Le contact quotidien avec le cheval et l'impact direct sur le bien-être des patients sont des sources fortes de satisfaction. Métier créatif et polyvalent, il offre l'occasion d'innover dans les dispositifs thérapeutiques et de travailler en équipe pluridisciplinaire.

La diversité des publics et des contextes rend le quotidien riche et motivant.

Contraintes et difficultés

Les conditions extérieures (météo, saison) influencent l'activité. La gestion des chevaux demande vigilance et investissement financier si l'on possède du matériel ou des animaux.

Emotionalement exigeant, le métier expose au stress lié à la responsabilité envers des patients fragiles. Les débuts peuvent être économiquement précaires, notamment en libéral.

Évolution de carrière

L'équithérapeute peut élargir son champ d'action en développant des compétences cliniques, managériales ou en créant des structures spécialisées. La spécialisation et la reconnaissance par des prescripteurs facilitent l'évolution.

Perspectives d'évolution

Avec de l'expérience, on peut accéder à des postes de coordination d'équipe, gestion de projet ou direction d'un pôle d'accompagnement. L'expertise permet d'intervenir comme consultant auprès d'établissements et d'organismes de formation.

Spécialisations possibles

Spécialisation en pédopsychiatrie, gériatrie, rééducation neurologique ou en médiation équine scientifique. Certains se forment à la recherche, à l'évaluation d'impact ou aux protocoles cliniques pour intégrer des équipes hospitalières.

Reconversion et passerelles

Les compétences acquises ouvrent des portes vers l'ergothérapie, la psychomotricité, l'animation sociale, la formation d'éducateurs équestres ou la gestion de centres équestres thérapeutiques. La pédagogie et la coordination facilitent la transition vers des rôles administratifs ou formatifs.

Accès au métier et reconversion

Les voies d'accès sont multiples. Jeunes et adultes en reconversion peuvent construire un parcours adapté en combinant diplômes sanitaires/socials et formations en médiation équine.

Pour les jeunes et étudiants

Après le bac, viser des études paramédicales (ergothérapie, psychomotricité) ou des licences (psychologie, sciences du sport) puis compléter par un DU ou une formation en médiation équine. Des stages en structures équestres et en établissements médico-sociaux sont fortement recommandés.

Pour les adultes en reconversion

La reconversion nécessite souvent une validation du projet et un financement. Les DU, certificats et formations modulaires permettent d'acquérir rapidement des compétences pratiques. Le CPF et les dispositifs Pôle emploi peuvent financer une grande partie de la formation.

VAE et expérience professionnelle

La Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) peut permettre de faire reconnaître des compétences professionnelles acquises auprès d'organismes délivrant des certificats ou diplômes universitaires. La VAE est utile pour formaliser une expérience de terrain et accéder à des postes mieux qualifiés.

Réseau professionnel et réglementation

L'équithérapie s'inscrit dans un réseau pluriel : fédérations équestres, associations de médiation animale, collèges professionnels et groupes de pairs. La Fédération Française d'Équitation (FFE) et des associations spécialisées accompagnent la sécurité des activités.

Il n'existe pas de titre national protégé « équithérapeute » : la pratique repose souvent sur un diplôme de santé ou social complété par une formation reconnue. L'assurance responsabilité civile professionnelle est indispensable, de même que le respect des normes de sécurité équestre et des règles d'hygiène.

Enfin, la déontologie impose le travail en réseau avec les prescripteurs médicaux et la tenue de dossiers patients conformes aux exigences légales.

Témoignages et retours d'expérience

Des professionnels partagent des parcours motivants, des conseils et une vision réaliste du quotidien.

Parcours inspirants

Claire, ergothérapeute devenue équithérapeute : « J'ai complété mon diplôme par un DU en médiation équine. Voir des patients gagner en motricité et confiance me confirme chaque jour le sens de mon travail. »

Julien, ancien moniteur devenu coordonnateur d'un pôle d'équithérapie, raconte comment la complémentarité entre compétences équestres et cliniques a boosté son projet.

Conseils de professionnels

Les conseils reviennent souvent : accumuler des heures de terrain, nouer des partenariats avec des structures médicales et investir dans la supervision clinique. Développer une pratique réfléchie, documentée et évaluée augmente la crédibilité auprès des prescripteurs.

Réalités du terrain

Sur le terrain, la logistique (entretien des chevaux, transport, météo) pèse sur l'organisation. Il faut aussi gérer des publics difficiles et des progrès parfois lents. Malgré ces défis, la plupart des praticiens soulignent la gratification de voir des patients s'épanouir.

Questions fréquentes (FAQ)

  • Comment devenir équithérapeute ? Pour exercer, combinez un diplôme de santé (ergothérapie, psychomotricité, psychologue, infirmier) ou un profil social avec une formation complémentaire en médiation équine. Les DU et certificats spécialisés sont souvent recommandés pour acquérir les compétences cliniques et pratiques nécessaires.
  • Existe-t-il un diplôme officiel d'équithérapeute ? Actuellement, il n'existe pas de titre national protégé unique « équithérapeute ». La pratique repose sur un diplôme de base (santé/social) complété par des formations universitaires ou privées en médiation équine.
  • Quel niveau d'équitation est requis ? Un niveau équestre sûr est indispensable : aisance à cheval, gestion des situations imprévues et connaissance de base des soins aux équidés. Le niveau exact dépend de la structure et des activités prévues.
  • Quel est le salaire d'un équithérapeute débutant ? En salarié, le salaire brut mensuel démarre souvent entre 1 500 et 1 900 €. En libéral, les revenus varient fortement selon le nombre de séances et la tarification.
  • Peut-on se former en reconversion ? Oui. De nombreuses formations continues, DU et certificats accueillent des adultes en reconversion. Les dispositifs de financement (CPF, Pôle emploi) peuvent aider à financer le parcours.
  • Quelles assurances sont nécessaires ? Une assurance responsabilité civile professionnelle est indispensable. Si vous possédez des chevaux, une assurance spécifique activité équestre et une assurance multirisque pour les installations sont recommandées.
  • Où exercer ce métier ? Dans les centres équestres adaptés, établissements médico-sociaux (IME, MAS), hôpitaux, associations de médiation animale ou en cabinet privé. La mobilité et la création de partenariats locaux sont importantes.
  • Quelles compétences relationnelles sont clés ? Empathie, patience, capacité d'écoute et pédagogie. Savoir travailler en équipe pluridisciplinaire et communiquer avec les familles et prescripteurs est fondamental.
  • La médiation équine est-elle remboursée ? Les prises en charge dépendent des conventions locales et des financeurs. Certaines structures obtiennent des financements partiels via la MDPH, les collectivités ou des programmes de santé ; le remboursement reste néanmoins irrégulier.

Conclusion

L'équithérapie est un métier exigeant et profondément humain. Si vous êtes attiré par le soin, le cheval et le travail pluridisciplinaire, renseignez-vous et formez-vous pour commencer une carrière riche de sens.

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